De Melkweg est une exploitation familiale moderne située à Kasterlee, en Belgique. Elle comprend un élevage de vaches laitières, des champs et une cuisine de production où le lait frais est transformé sur place en délicieux desserts : pudding, riz au lait, yaourt, et bien plus encore. Toute la famille contribue à l’activité, en prenant soin de quelque 300 vaches. À la tête de cette entreprise dynamique : Ann Cools. Aux côtés de son équipe en cuisine – dont sa fille Fien – elle produit chaque jour ces spécialités laitières, livrées ensuite aux clients dans toute la Flandre.
Bien que les transpalettes manuels soient simples à utiliser et nécessitent peu de formation, l’effort physique demandé pour soulever et manœuvrer des palettes lourdes peut être conséquent. Jusqu’à récemment, le transport interne à la ferme De Melkweg se faisait à l’aide d’un transpalette manuel. « Avec des palettes bien remplies et peu d’espace pour manœuvrer, cela sollicitait énormément notre dos et nos épaules », explique Ann.
« Surtout lorsqu’il fallait démarrer à l’arrêt ou circuler sur des surfaces irrégulières, il fallait fournir un réel effort pour faire avancer le transpalette. » Le fait de pomper la poignée à répétition pour soulever les charges, ou de pousser et tirer des palettes lourdes, finit par fatiguer les muscles, en particulier ceux du dos, des bras et des épaules. Le besoin d’une solution plus ergonomique s’est donc rapidement imposé.
Ann a trouvé la solution idéale sur la boutique en ligne de Toyota Material Handling. Grâce à des instructions claires, le transpalette BT Tyro a pu être mis en service immédiatement. Une fois en fonctionnement, le produit a pleinement répondu aux attentes. « Dès qu’on commence à l’utiliser, on prend vite le coup de main, et très rapidement, c’est devenu un réflexe de se tourner vers le BT Tyro », témoigne Ann.
Le BT Tyro a fait la différence dès le premier jour. « On le remarque tout de suite : tout est plus fluide et demande moins d’effort », souligne Fien. « Nous devons déplacer des charges d’environ une tonne, et les efforts de poussée ou de traction appartiennent désormais au passé. Cela nous permet de mieux nous concentrer sur le cœur de notre travail. »
De plus, grâce à son fonctionnement silencieux et à son format compact, l’appareil s’intègre parfaitement dans l’environnement de l’atelier laitier.
Passer d’un transpalette manuel à un modèle électrique est un changement à petite échelle, mais dont l’impact est conséquent. Comme le dit Ann : « C’est un investissement relativement modeste, mais dont les effets sont considérables. C’est un pas vers une meilleure organisation du travail. À mesure que nos volumes augmentent, nous voulons que notre manière de travailler évolue aussi — sans que le corps en pâtisse. »
“ Il faut investir dans les personnes, pas seulement dans les machines ”
Lors d’un court échange, Ann partage sa vision : « Nous croyons en un travail local, durable et équitable. Cela commence avec nos produits, mais cela vaut aussi pour notre équipe. Si une bonne décision permet d’améliorer l’ergonomie, alors c’est une décision qu’il faut prendre. »